Acharnement médiatique :
L’affaire de Jamel LEULMI a suscité chez les journalistes un attrait pour le « SENSATIONALISME MERCANTILE ». Pourtant, l’affaire peut rappeler celle du RER B ou les médias ont été trop vite et trop loin, en se précipitant à ne croire qu’une partie sans aucune vérification. Même si à ce jour, des journalistes professionnels ayant faits des investigations se rendent compte de certains mensonges et reviennent sur leurs dires, d’autres ne font rien, alors même qu’ils ont violé la présomption d’innocence d’un homme détruisant sa vie et celle de sa famille au passage.
Tout comme l’incarcération de Jamel LEULMI qui repose uniquement sur les mensonges de sa principale accusatrice Julie DEROUETTE*, les médias eux aussi se sont laissé berner par les mensonges de coma de cette dernière, ses histoires de comte de fées à dormir debout, l’amplification de ses séquelles…
Il faut noter que des journalistes qui se sont rendu compte après de longs mois de la supercherie de Julie DEROUETTE ont décidé de mener leurs investigations allant jusqu’au Maroc et cela à donné le résultat de l’émission «7 à 8 » du 23 Octobre 2011 sur TF1 réalisée par les journalistes Marie Alix BRUCKER et Mathias DENIZO ou encore le journaliste « Thomas SCHURCH » pour le journal du détective N°1521 du 09 novembre 2011 qui a mené des investigations du côté des ex compagnons de Julie DEROUETTE et notamment le père de ses enfants et dans les 2 cas, le résultat est exceptionnel de contradictions et de mensonges dans les déclarations de Julie DEROUETTE. Celle-ci aurait menacé le père de sa fille de porter plainte contre lui pour inceste s’il l’a quittait.
Dès le lendemain de l’incarcération de Jamel LEULMI, les médias informaient très largement le public sur son incarcération et diffusaient son image et son identité violant ainsi sa présomption d’innocence. Des journalistes auraient récemment confirmé qu’ils ont été informés par des enquêteurs.
Le 06 aout 2010, soit quelques heures seulement après l’incarcération de Jamel LEULMI, les journaux télévisés du 13 et du 20h faisait de l’affaire leur première page.
L’affaire a fait des premières pages et des gros titres dans « le Parisien », « VSD », « Le républicain », « ELLE », « Détective », « Voici », « Closer », « GQ », « Aujourd’hui en France ».
Elle est également relayée dans des émissions, à savoir : « 7 à 8 » TF1, « 66 minutes » M6, « Suspect N°1 » TMC et « présumé innocent » direct8.
Les titres sont édifiants de diffamation : « Le tueur à l’assurance », « l’escroc aux assurances », « le barbe bleu de l’Essonne », « le meurtrier à l’assurance vie », « Jamel LEULMI, séducteur, menteur et meurtrier », « séducteur, escroc et meurtrier ».
Tout cela à été possible grâce à la complicité de la justice qui n’a jamais empêché la diffusion, et avec l’aide des enquêteurs qui espéraient avec ces émissions et journaux, recueillir un maximum de témoignages et salir au passage l’image de Jamel LEULMI, ce qui permettrait, comme ils l’ont confié à certains témoins, de formater l’opinion publique en vue d’un procès aux assises.
Dans chaque parution presse ou télévisée, seule la partie civile accusatrice a le droit de parler, donc un travail partial et un abandon des principes journalistiques de base.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la compagne de Jamel, témoin de leur vie conjugale, ne sera jamais citée avant l’émission de 7 à 8 du 23 octobre 2011.
Exemple d’acharnement intense d’un journaliste avide de reconnaissance :
Le 07 aout 2010, le PARISIEN, via son « jeune » journaliste Benjamin JEROME, titrait en première page « Enquête sur un tueur à l’assurance vie », titre violemment diffamatoire qui traduit un amateurisme flagrant. L’article comportait des informations provenant directement de sources policières et d’autres informations, sorties tout droit de l’imaginaire débordant de ce journaliste, qui prend un malin plaisir à vendre du sensationnel. Ce journaliste opportuniste se sert de l’affaire LEULMI en espérant se faire un nom. En effet, depuis le début de l’affaire, M.JEROME à réalisé 5 articles dans le parisien, a été interviewé sur le sujet dans l’émission présumé innocent de direct 8 en décembre 2010, dans l’émission TMC suspect N°1 et dans l’émission de radio « l’heure du crime » du 26 août 2010. Dans cette émission, M.JEROME a du feindre et faire quelques pirouettes pour ne pas répondre clairement à la question lorsque Jacques PRADEL lui demande comment il peut être si bien informé sans avoir accès au dossier de l’instruction.
On notera pour chacun, le manque d’investigation, car les journalistes, avaient dès le début de l’affaire la possibilité de savoir que Jamel LEULMI était déjà en couple et que c’est en compagnie de sa compagne qu’il s’était rendu au Maroc, et non pas pour se marier avec Julie DEROUETTE.